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Le dénombrement des coliformes fécaux constitue la référence en matière d'évaluation de la salubrité des zones conchylicoles, de la qualité des bivalves destinés à la consommation humaine. Chacun jugera de l'intérêt et de l'efficacité que peut présenter une investigation diligente en ce domaine. Or, les techniques microbiologiques utilisées à l'heure actuelle se révèlent incompatibles avec ces objectifs voire avec les impératifs des laboratoires. Nous avons donc entrepris de tester deux nouveaux milieux (A1-M et MUG) afin de juger de leur fiabilité. L'étude statistique fait appraître une corrélation étroite entre le milieu A1-M et le bouillon BLBV, nous confortant dans la poursuite de cette application à savoir l'évaluation de la fréquence du nombre de faux positifs et faux négatifs. Cette ultime étape devrait nous permettre de formuler un avis circonstancié sur l'opportunité d'une substitution à la méthode normalisée.